mardi 26 juillet 2011

Communiante inconue

Peut être que vous vous reconnaitrez sur cette photo,
rare sont les photos que nous avons de l’intérieur de l'église.
Nous sommes toujours à la recherche de toutes photos prisent de l’intérieur ou sur les marches de l'église.
cette photo est signée Micallef.

Contacter l'association enfants.thagaste@neuf.fr

samedi 16 juillet 2011

Louise Bernadette Augustine


En 1930, lors du centenaire de l’arrivée de la France en Algérie et du XV°centenaire
de la mort de Saint Augustin, eu lieu à Souk-Ahras le baptême d’une superbe cloche hissée dans le clocher de l’Eglise.

La manifestation réunissait les parrains et Marraines de Louise Bernadette Augustine :
Mme louise Deyron et Mr Bernard Sultana en présence de monseigneur Thienard évêque de Constantine, du maire Léon Deyron et de l’abbé Garcia.


Notre cloche fondue par Cornille Havard a 98 cm de diamètre et pèse 490 kg relevant au diapason la note sol dièse 845 vibrations et chanta durant 32 ans les joies des baptêmes, communions et mariages, les tristesses de nos deuils .

Fidèle et guidée par son saint patron, elle nous suivit dans notre déracinement et en 1965 elle fut hissée dans l’église Saint André de Rivesaltes (66), datant du XVII°siècle, grâce au généreux concours du conseil municipal de cette ville.

Louise Bernadette Augustine poursuit sa tache,
conformément à la gravure qu'elle porte :

"TANT QUE J’EXISTERAI, JE PROCLAMERAI LA GÉNÉROSITÉ DE MES PARRAINS ET MARRAINE ,
JE CHANTERAI LES JOIES DU PAYS ET DE LA CITE , JE M’APITOIERAI AUSSI SUR LEUR TRISTESSE"

vendredi 15 juillet 2011

En réponse à un message recu sur Souk-Ahras

Suivez le lien ci-dessous
http://www.elwatan.com//culture/entre-canicule-et-approche-du-ramadhan-14-07-2011-132645_113.php


J’en parlais avec un ami hier et je lui disais qu'en Algérie, nous vivions avec des 40 degrés à l’ombre et même plus, et l' hiver bien souvent avec de la neige en abondance, il semblait étonné, surtout en ce qui concerne la neige.
Nos parents, nos grands parents voire nos arrières grands parents, étaient très content et heureux de vivre sous ce climat, ils n’auraient d'ailleurs jamais voulus vivre ailleurs que sur leur terre natale, malgré ces températures le climat était tempéré et il le vivaient très bien.

Je pense que l'on s’habitue plus facilement à la chaleur d’Algérie, qu’au froid et à la grisaille de la France.
Je m’aperçois d’une chose en lisant cet article, c’est que concernant les vacances, cela n'a pas beaucoup changé, de notre temps (avant 62), nous étions dans la même situation à peu près,
seuls les gens aisés ou riches pouvaient se payer des vacances, nous , les plus modestes, nous devions nous contenter d'aller aux plages de Bône, Toche, la grande bleue ou chapuis et sous une toile de tente.
Je me souviens,nous partions de Souk-Ahras avec la 203 vers 6 heures du matin chargé comme des mulets, pour avoir une chance en arrivant d’avoir une place pour installer notre guitoune, comme on disais.
Nous amenions tout avec nous, l’eau, le pain ou la galette, entrée plat et dessert, et c’est vers 16 heures que nous levions le camp en faisant la grimace.
Après une bonne journée de plage où était mêlés, soleil, baignade et vie de famille au grand air marin.
C’était la belle vie, nous nous contentions de peu, mais c’était toujours avec beaucoup de bonheur.

Quand je pense que certains oses prétendre que nous étions tous de gros richards et que notre passe temps était d'exploiter les indigènes, que nous sommes rentré en France avec des valises pleines d’argent et d’or, ça me met hors de moi.
La seule richesse que nous avions, c’était l’amour de notre pays, l’Amour de notre terre natale, l’amour de notre très chère ville de SOUK-AHRAS , notre petit PARIS que nous aimions tant.
Merci de penser à m’envoyer ces articles et ces photos qui me font mal quelque part, mais qui me font également beaucoup de bien.
Je n’oublierai jamais ma ville, son souvenir est en moi et je l’emporterai jusque dans ma tombe.
Gilbert Quaranta-Greck

Si vous avez des anecdotes de vacances à la plage, à Bône, Philippeville ou La calle, laissez nous un commentaire MERCI...

lundi 4 juillet 2011

De 1962 à 2010





Cette photo a été prise depuis le balcon de

l'immeuble Communal en
2010
Cliquer sur les photos pour les agrandir

Cette Photo a été prise depuis le balcon de l'immeuble
Communal
en 1958/1959

Même lieu, même angle 48 ans après

Colonie de vacances ISSERPENT


Cette photo a été prise pour le départ en colonie de vacances à Vichy Isserpent, La plupart de ces enfants et ados doivent avoir maintenant entre 60 et 67 ans à peut prêt.
Merci de nous aider à mettre un nom sur ces sympathiques visages.
Si vous vous reconnaissez, ou si vous reconnaissez quelqu'un, merci de nous contacter en cliquant ici
indiquer les noms et l'emplacement .
Merci pour votre collaboration et pour votre aide dans l'œuvre de mémoire engagée par notre association.

dimanche 3 juillet 2011

Regroupement des cimetières Français d'Algérie


Ils étaient 135 petits cimetières français en Algérie. Ils seront 22 une fois le regroupement publié hier au Journal officiel effectif. Le regroupement de ces cimetières est la traduction d'un plan de 1,4 million d'€ lancé par la France en 2003, sous l'impulsion du président Jacques Chirac, en accord avec les autorités algériennes. Après le début de l'indépendance de l'Algérie et le départ des pieds-noirs qui y vivaient (certains depuis une dizaine de générations), les 523 cimetières français de l'Algérie, qui contiennent 210 000 sépultures, ont été progressivement laissés à l'abandon. Des mesures s'imposaient. Elles coûteront à la France 1,4 million d'€.

Une alternative proposée aux familles

Cet arrêté précise par ailleurs que les « familles pouvant justifier par tout moyen de la sépulture de parents dans les cimetières de la liste publiée hier, disposent à partir de ce jour de 4 mois pour faire savoir au consul général de France territorialement compétent si elles souhaitent effectuer le transfert en France, à leurs frais, des restes mortels de leurs défunts ». Depuis quelques années, des familles d'anciens pieds-noirs se rendent régulièrement en Algérie pour se recueillir sur la tombe de leurs parents.Pour plus d'infos contacter l'association, si vous voulez réagir , laisser un commentaire.